Roland Garros

Je ne savais même pas que les matchs commençaient aujoud'hui !

FFVII_FR a écrit:

Je ne savais même pas que les matchs commençaient aujoud'hui !

Déjà que le temps passe vite!!! j'aime bien regarder, mais je ne commence a regarder sérieusement aux quarts de final

Ca me fait penser que je ne suis jamais allée voir un match, pourtant ce n'est pas bien loin de chez moi

Flore a écrit:

Guga vient de perdre face à un français
Pffffffffffffffff

Guga, la dernière danse

Bastien Aubert (sport24.com)
25/05/2008 |

Gustavo Kuerten a dit adieu au tennis ce dimanche Crédits photo : Reuters


Eliminé au premier tour de Roland Garros, Gustavo Kuerten a mis fin à sa carrière. Le Brésilien, triple vainqueur du Grand Chelem parisien, y laissera un souvenir éternel.


A Roland Garros
Des larmes, un trophée
Les habits de lumière, les mêmes qu'il avait sortis il y a onze ans. La dernière image que Gustavo Kuerten laissera de lui à Paris est si proche de la première. Celle d'un joueur atypique, qu'un rien n'amuse et que la vie n'a pourtant pas épargné (il a perdu prématurément son père et son frère). Le Brésilien aura vécu ses plus beaux moments à la Porte d'Auteuil et rien que pour cela, il méritait cette Ola, cette standing ovation que le public parisien lui a offerte à la fin de son match contre Paul-Henri Mathieu, alors qu'il craquait sous sa serviette. Plein de sanglots, dans la voix et le regard, il est toutefois venu soulever le trophée honorifique que lui propose Christian Bîmes au milieu du Court Philippe-Chatrier. Guga, c'est aussi ça. La sympathie, la générosité, l'énergie. Les mêmes qu'il met tous les jours depuis 2000 pour aider les enfants handicapés au travers d'une association IGK basée à San Catarina.
Les mêmes qu'il a mises depuis trois ans pour combattre une tenace blessure à la hanche, qui l'a fait mourir à petit feu et qui l'a convaincu de lancer le fameux Guga World Tour : «Je suis certain que ce tournoi sera mon dernier. J'ai essayé de travailler pour les Jeux Olympiques mais ces derniers mois ont été très difficiles pour moi». Depuis, il n'a pas changé d'avis, il ne se sent plus capable de revivre le calvaire qui est le sien depuis son dernier sacre à la Porte d'Auteuil en 2001. «Jusqu'ici, j'ai essayé quelques interventions chirurgicales. J'ai tenté de jouer différemment mais je n'ai pas réussi à me débarrasser de la douleur. Je n'ai pas non plus réussi à revenir à un bon niveau pour la compétition», se lamente-t-il alors qu'il s'est longtemps persuadé de pouvoir revenir dans le Top 20.
«Guga n'était plus le même»
Des opérations effectuées à Nashville puis Pittsburgh n'aboutissent à rien mais le voilà encore motivé comme à ses débuts.En janvier 2006, il prend la direction de Buenos Aires puis Barcelone pour échanger des balles avec Guillermo Cañas et Rafael Nadal. Pour se remettre à niveau, comme il dit. Il est alors accompagné d'Hernan Gumy, coach actuel de Marat Safin, mais décide de contacter Larri Passos, son père spirituel, l'entraîneur avec qui il a déjà tout connu. «J'étais en train de jouer au golf avec ma famille, dans le sud du Brésil, lorsque Guga m'a téléphoné. Guga n'était plus le même. Il était diminué. Sa hanche était un problème, son nerf du muscle fessier aussi. Pour moi, il était clair que depuis Miami 2007, il n'était plus capable d'être au top».
Malgré sa vie confortable (près de 15 millions de dollars de gains) et même s'il passe plus de temps sur les tables de massage que sur les courts, l'ancien n°1 mondial croit en sa bonne étoile. «Cela me fait mal quand je suis assis, quand je dors, quand je joue. C'est dur, très dur mais je ne lâcherai pas». Le soleil qu'il s'est fait tatouer sur la paume de la main en dit long sur son optimisme éternel. Diadora, son sponsor, ne le lâche pas et Enrico Mambelli, patron de la marque, se félicite de l'avoir dans ses rangs : «C'est pour ça qu'on a voulu faire signer à nouveau Guga. Au Brésil, il reste un héros comme Zico et Ayrton Senna». Même les héros ont une fin, celle de Kuerten est arrivée.

Les Français au programme aujourd'hui. 8e de finale du simple messieurs.

Paul-Henri Mathieu (FRA/N.18) - Novak Djokovic (SRB/N.3)

Ernests Gulbis (LAT) - Michaël Llodra (FRA)

Jérémy Chardy (FRA) - Nicolas Almagro (ESP/N.19)

Thomas Coex AFP ¦ Michaël Llodra lors du match l'opposant à Tomas Berdych le 28 mai 2008 à Roland Garros

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Llodra à la trappe!

Llodra - Gulbis 4-6, 6-7. 2-5



Le match commence Mathieu-Djokovic: 0-0

Dur pour le français Chardy- Almagro: 6-7, 6-7, 5-5


Pendant ce temps, Nadal dégoûte Verdasco du tennis 6-1, 6-0.

Merci Mini pour les news, je vais tout rater ce mois ci SNIF

ou en est mon petit préféré : Federer ???

a écrit:

Merci Mini pour les news, je vais tout rater ce mois ci SNIF

ou en est mon petit préféré : Federer ???

Federer a explosé Ancic (6-3, 6-4, 6-2). Et mon choucou Nadal est toujours dans la course, heu dans le court!

20h22. C'est terminé! Gaël Monfils se qualifie pour les quarts de finales. Il sera le seul Français à ce stade du tournoi. Il affrontera le vainqueur du match entre Stepanek et Ferrer.
Monfils (FRA) - Ljubicic (CRO): 7-6 ; 4-6 ; 6-3 ; 6-2



Maria Sharapova, numéro un mondiale, vient de s'incliner en trois sets face à Dinara Safina (7-6 ; 6-7 ; 6-2). Nos oreilles ne subiront plus ses hurlements jusqu'à la finale de samedi.
En 1/4 de finale, Federer affrontera Fernando Gonzales...

Un petit tour du côté du Lenglen ou le Tchèque Radek Stepanek vient de remporter le 3e set. Il mène 2 manches à une face à Ferrer.

allez GAËL

Hé non Valentine


Cécile Soler
06/06/2008 | Mise à jour : 21:47 |

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Gaël Monfils a beaucoup couru, défendant avec acharnement et sauvant deux balles de match devant un public en fusion, mais Roger Federer était trop fort.

Le Français a joué sa chance jusqu'au bout pour sa première demi-finale de Grand Chelem, concédée devant le numéro un mondial, 6-2, 5-7, 6-3, 7-5.


Gaël Monfils peut quitter Roland-Garros la tête haute. Non seulement il est arrivé dans le dernier carré alors qu'il n'est que 59e mondial, mais il n'a pas démérité face au numéro un mondial. Sa première demi-finale de Grand Chelem, Gaël Monfils l'a jouée avec culot, déroutant parfois Roger Federer, quand il n'était pas surclassé par la volonté farouche de celui-ci. «Je suis soulagé, a lâché le Suisse particulièrement souriant. Gaël a été magnifique tout au long de la quinzaine. J'avais vu ce dont il était capable dès mon premier match contre lui à Doha.»
Sa première demi-finale majeure débuta pourtant de la pire façon possible pour le Français. Après avoir effectué un aller-retour express dans les vestiaires entre l'échauffement et le début du match pour changer de lentilles, le Parisien concéda son service blanc. Face à un Roger Federer qui jouait à la perfection, remonter un break de retard est une mission difficile. Voire impossible. Même si après une nouvelle urgence médicale lentilles, Monfils retrouva le contact visuel avec la petite balle jaune, il manqua de réussite dans des initiatives plutôt heureuses. Bombardé par des gifles en coup droit et des revers judicieusement placés, le jeune Français encaissa 6-2 lors d'un premier set de très belle qualité sur le plan du jeu.
«Je suis quand même déçu, il y avait la place»



Le début de la deuxième manche fut plus décousu. Après un échange de breaks, le véritable combat s'engagea ensuite, avec le Suisse parfois surpris des frappes en bout de course transformées en point gagnants par son adversaire désarticulé. Les deux hommes s'étaient pourtant déjà rencontrés trois fois, sans que Monfils ne donne jamais l'impression d'être en mesure d'inquiéter Federer. Si deux des rencontres se disputèrent sur dur, la troisième avait eu lieu en avril dernier sur la terre battue de Monte-Carlo. Et pas plus en Principauté qu'ailleurs, le Français n'avait été capable d'arracher un set au numéro un mondial. Effectuant la course en tête dans cette deuxième manche, Monfils passa même à deux points du set, lorsqu'à 5-4 en sa faveur il mena 0-30 sur le service du Suisse. Il fut à nouveau à égalité à 6-5 et se procura une balle de set que Federer sauva au filet. Mais la deuxième fut la bonne et, grâce à une vilaine faute du Suisse, tout le Central se leva comme un seul homme alors que la liesse s'emparait du clan de Monfils.
Liesse éphémère. Comme dans la deuxième manche, le Parisien concéda sa mise en jeu très tôt dans la troisième. Et si un smash acrobatique à la Monfils donna une occasion au Parisien de revenir au score, Federer fut impérial dans ce set. Plus agressif, commettant un minimum de fautes directes, il prit son adversaire à la gorge, alors que Thierry Champion et Rémi Barbarin faisaient simultanément le geste de visser leur index sur leur tempe dans le clan du Français. L'entraîneur et de préparateur physique de Monfils tentaient vainement de provoquer le réveil de leur poulain. A travers ses lentilles, «La Monf» dut les apercevoir, puisqu'il revint de 5-1 à 5-3, sauvant deux balles de set au passage. Mais Federer empocha pourtant la manche pour virer en tête.
Monfils s'accrocha comme le «guerrier» qu'il se flatte d'être dans le quatrième set. A 5-4, Monfils sauva deux balles de match et souleva de nouveau la foule. Mais l'expérience de Federer fit pencher le match en sa faveur. Même s'il ne donna pas toujours le meilleur de son tennis durant cette demi-finale, le Suisse verrouilla les points qui comptaient. Refusant de se laisser embarquer dans un tie-break de tous les dangers, le numéro un mondial claqua une volée gagnante sur le jeu de service de Monfils. «Je suis quand même déçu, il y avait la place», a lâché le Parisien. En guerrier.