Michel Sardou et la chanson française Toute l'actualité passée et à venir de Michel Sardou |
|
| Alors là Jojo, faudra que tu m'expliques | |
| | Auteur | Message |
---|
Flore ADMINISTRATRICE
Nombre de messages : 3008 Age : 47 Localisation : Paris Loisirs : Zic écriture Date d'inscription : 14/01/2007
| Sujet: Alors là Jojo, faudra que tu m'expliques 13.02.07 15:52 | |
| Tu veux être suisse ou belge ??? Tu joues sur les 2 tableaux au cas ou, c'est ça ??
La commission des naturalisations de la Chambre des représentants de Belgique n'a pas encore pris de décision sur la demande du chanteur français Johnny Hallyday de devenir belge, mais elle se prononcera le 27 février, a-t-on appris mardi de source parlementaire belge.
Le quotidien français Le Parisien affirmait mardi que les membres de cette commission avaient "validé" le dossier du chanteur, dont le père était belge.
"Aucune décision n'a encore été prise concernant le dossier de Johnny Hallyday", ont cependant indiqué mardi à l'AFP les services de Guy Hove, le président de la commission des naturalisations.
"Une décision sera prise lors d'une réunion prévue le 27 février, dans l'après-midi", a ajouté la même source, en refusant d'indiquer à ce stade si la demande de Johnny Hallyday serait acceptée. "C'est un secret", a fait valoir une collaboratrice de M. Hove.
Pour obtenir la nationalité belge, il faut en principe avoir sa résidence principale en Belgique depuis au moins trois ans et y habiter durant toute la procédure. Cependant, ces conditions ne sont pas obligatoires si l'on peut prouver d'autres "attaches véritables avec la Belgique".
Pour se prononcer, la Chambre des députés se base également sur des avis (non-contraignant) du parquet du tribunal de première instance, de l’Office des Etrangers (ministère de l'Intérieur) et de la Sûreté de l’Etat (services des renseignement), afin de vérifier si le demandeur de la nationalité belge n'a pas commis de "faits personnels graves".
Si la demande de Johnny Hallyday est est acceptée, l’acte de naturalisation sera publié au Moniteur belge (journal officiel) et le chanteur deviendra légalement belge à partir de cette date. Selon la législation du royaume, il sera également automatiquement inscrit sur les listes électorales belges.
Par ailleurs, en droit belge, "l'intéressé n'est pas obligé de renoncer à sa nationalité antérieure", a expliqué à l'AFP un responsable du services des naturalisations de la Chambre. Dans le cas de Johnny Hallyday, "cela relève du droit français", a-t-il ajouté.
L'obtention de la nationalité belge "pourrait n'être qu'une étape", selon Le Parisien, pour permettre au chanteur de s'installer ensuite à Monaco dans un délai de deux ans, compte tenu du délai légal pour un Belge désirant s'installer dans la principauté.
Le journal croit savoir que le désir du chanteur de rock d'obtenir la nationalité belge tient davantage au statut fiscal avantageux accordé par Monaco aux citoyens belges qu'aux raisons sentimentales évoquées par le chanteur.
La presse belge a à plusieurs reprises rapporté que l'interpètre de "Souvenirs, Souvenirs" cherchait à ouvrir un restaurant à Bruxelles. Mais ses tentatives ont jusqu'à présent échoué. | |
| | | Marianne RANG 4
Nombre de messages : 1790 Age : 73 Localisation : LA MER Loisirs : DU PLAISIR Date d'inscription : 14/01/2007
| | | | Mini ADMINISTRATRICE
Nombre de messages : 7447 Age : 93 Localisation : La vallée des poupées Loisirs : MON SARDOU ET ENCORE DU MON SARDOU!!!! Date d'inscription : 14/01/2007
| Sujet: Re: Alors là Jojo, faudra que tu m'expliques 25.02.07 12:21 | |
|
«Je veux mettre ma famille à l'abri!»
JOHNNY HALLYDAY - PARIS Le chanteur répond aux attaques incessantes en nous recevant longuement chez lui. Monaco, la Belgique, son passé: le chanteur met les choses au point. Il compte rester à Gstaad où il se sent bien
DIDIER DANA
23 février 2007
A force de le voir enchaîner les dates de sa tournée dans son armure de cuir, on pensait Johnny Hallyday, 63 ans, totalement insensible aux critiques. Faux! Il a des comptes à régler. Le chanteur nous a reçus jeudi après-midi, entre deux concerts, dans sa maison parisienne, où il a fait une courte halte, alors que s'achève bientôt sa tournée marathon «Flashback Tour». Pieds nus dans des baskets sans lacets, jogging, T-shirt, il paraît vulnérable, assis dans l'un des profonds canapés du salon de sa villa de Marnes-la-Coquette. Un lieu clair, calme, empli de peluches. «Ce sont les fans qui me les lancent sur scène, pour Jade. Je vais les emmener à Gstaad...»
Vous êtes incorrigible... (Sourire en coin, intrigué) Qu'est-ce que j'ai encore fait?
Vous fumez! (Il allume une Gitanes sans filtre.) J'arrête à la fin de la tournée. Mon cardiologue m'a prescrit un nouveau médicament qui permet de stopper et empêche de grossir. (Silence) J'en ai marre de ces polémiques à mon sujet. Je lis n'importe quoi en ce moment. Monaco: qu'est-ce j'irai y faire? Mon chalet à Gstaad? On cite des chiffres: 1,5 million à l'achat et 2,5 millions de travaux. C'est faux! Je l'ai payé beaucoup plus cher et fais faire des travaux encore plus coûteux.
Combien? Je ne vous le dirai pas. C'est un bijou, à taille humaine. Je n'ai pas l'intention de quitter la Suisse. D'ailleurs, j'y retourne dès le 3 mars.
Vous ne vous y «emmerdez» pas comme l'a prédit Sardou? Sûrement pas. Il y a le calme, la nature. On pique-nique. Je skie. Ma femme s'y est mise, elle a abandonné le snowboard. Jade vient de prendre sa première leçon. Jean Reno et sa femme y passent en ce moment leurs vacances. Ce sont mes amis qui se déplacent maintenant. J'adore la Suisse: les gens sont polis, vous disent bonjour et merci. A Paris, on vous croise sans vous regarder.
Alors pourquoi avez-vous demandé la nationalité belge? Vous invoquez toujours votre père, Léon Smet. Mais quel est donc le problème? Mon père m'a empêché d'être heureux depuis ma naissance. Ça remonte à l'école. Mes camarades me traitaient de «fils de boche», parce que je n'avais pas de père. Il m'a abandonné à la naissance. J'en ai beaucoup souffert. J'ai eu une vie similaire à celle d'Edith Piaf, sauf que moi, je n'ai pas été élevé dans un maison close!!!!... La nationalité belge, je l'ai demandée il y a dix ans. J'ai voulu devenir Belge pour résoudre ces problèmes-là. Et pour qu'il y ait au moins un membre de la famille qui possède cette nationalité.
Vous l'avez peu connu. Le jour de sa mort, je croyais qu'il avait plein d'amis. Je me suis retrouvé seul, derrière la camionnette qui emmenait son cercueil. Il est enterré à Bruxelles. Aujourd'hui, par rapport à ça, je dois penser à ma famille: ma femme, et ma fille Jade. Les mettre à l'abri. J'ai l'âge que j'ai. Il peut m'arriver n'importe quoi.
Vous avez passé un pacte avec Jade: vivre encore 25 ans. Jusqu'à 90 ans. Elle en aura presque 30.
Comme Henri Salvador... Si c'est pour être comme lui, je signe tout de suite. Et, en plus, il chante encore.
Sur Internet circule une chanson sur votre mort et une vidéo belge, tragi-comique, annonçant votre décès en 2027. (Etonné.) Ah, bon!? C'est gai! Je suis mort plusieurs fois. Un jour j'étais à Los Angeles, chez Richard Anthony. Le téléphone sonne, c'était Roger Théron (n.d.l.r.: ancien patron de Paris-Match). Il me dit: «Il paraît que tu es mort!» Je lui réponds: «Non, puisque je te réponds.» Et il dit: «Il faut prouver que tu es vivant et faire des photos de toi en train de faire du jogging!» J'ai refusé.
Est-ce que Johnny n'est pas devenu une figure monstrueuse qui vous échappe? C'est vrai. J'ai deux vies. Mes tournées, mes disques d'un côté et ma famille de l'autre. Quand je rentre à la maison, je suis Jean-Philippe. Je ne parle jamais de musique ni en famille, ni avec mes amis. Comme Gabin je demande: «Qu'est-ce qu'il y a à manger?»
Votre épouse, a fait récemment des déclarations sur votre alcoolisme, sur l'adultère... (Il interrompt) Là je dois faire une mise au point. Elle a dit: «Je ne pense pas qu'un homme puisse être fidèle toute sa vie», ce qui n'a rien à voir avec ce que j'ai pu faire. C'était général. Une petite phrase hors contexte est devenue ailleurs: «Laeticia trompée!» C'est malhonnête.
L'alcool? J'ai eu des problèmes d'alcoolisme. C'est vrai. J'étais mal dans ma peau. J'ai une famille maintenant, je vais beaucoup mieux. Je supportais mal ma célébrité, mon enfance... J'ai un peu touché à tout dans ma vie. J'ai toujours su m'arrêter à temps.
On parle d'un petit frère pour votre fille adoptive. Les démarches sont en cours? Elles se font à travers la Suisse grâce à mon avocat suisse. Là aussi, nous avons été attaqués avec ma femme. On a dit que nous avions bénéficié d'un passe-droit grâce aux Chirac. C'est encore faux.
Ça vous touche? Oui ça me touche. Je suis un être humain comme les autres. Quand Madonna adopte un enfant et qu'elle dit, en gros: «Je vous emmerde!», je pense qu'elle ne peut pas rester indifférente.
La polémique vous concernant est née depuis votre engagement pour Sarkozy, puis votre départ en Suisse. Les élections ont un effet multiplicateur. Sarkozy savait que j'allais partir, je l'avais prévenu en lui disant: «Je ne peux pas rester en France, je dois penser à ma famille.» Entre nous, il était content que je choisisse la Suisse plutôt que la Belgique (Johnny sourit). En France en ce moment on ne sait plus qui est de gauche, qui est de droite. Et la maîtresse d'école, franchement (n.d.l.r.: Ségolène Royal)... Sarkozy je le connais, il nous a unis Laeticia et moi, à la mairie de Neuilly-sur-Seine en 1996. Il tiendra parole et fera ce qu'il a dit. (Il se lève). Vous voulez un cigare?
Vous les achetez toujours à Genève, chez Vahé Gérard? Oui. Je fume ceux-là: Romeo Y Julieta.
Vous êtes fan de qui? Pas grand monde. La seule exception à mes yeux, c'est Raphaël. Il a une vraie personnalité. Et je suis si heureux du retour de Polnareff!
Vous irez voir son concert? Oui et ce sera à Genève. C'est le meilleur compositeur. (Il chantonne «Love Me, Please Love Me»). Sans vexer personne, c'est enfin le retour de l'original.
Quel est le secret de tous ces groupes ou artistes de votre génération qui tiennent encore le haut de l'affiche? La mélodie justement. Je dis toujours qu'une bonne chanson doit être sifflée par un peintre en bâtiment. Essayez un peu, avec celles d'aujourd'hui...
A Fribourg, mardi, allez-vous modifier votre répertoire? On a rajouté des titres comme «Blueberry Hill» de Fats Domino, histoire de ne pas rejouer tout le temps la même chose. Ce soir-là, mon cachet sera reversé à l'Unicef et à une oeuvre caritative suisse.
Et ensuite? Mon album de blues. J'y tiens! Ma nouvelle maison de disques, la Warner, me le permet. J'enregistre cet été à Los Angeles. Il y aura des guest stars. Eric Clapton, entre autre. Je vais enchaîner avec un autre disque, plus commercial avec grand orchestre, dans le style crooner, à la Sinatra.
Et un concert intime, en club? J'en ai fait un à la Cigale. Un DVD va sortir.
Rien à Gstaad? Non. Ou alors un concert de charité... Tiens, pourquoi pas?
| |
| | | Mini ADMINISTRATRICE
Nombre de messages : 7447 Age : 93 Localisation : La vallée des poupées Loisirs : MON SARDOU ET ENCORE DU MON SARDOU!!!! Date d'inscription : 14/01/2007
| Sujet: Re: Alors là Jojo, faudra que tu m'expliques 01.03.07 10:37 | |
|
Vers un refus de sa demande de nationalité belge ?
NOUVELOBS.COM | 25.02.2007 | 14:31
La présidente du groupe de concertation chargé de donner son avis à la "commission des naturalisations" a déjà annoncé qu'elle se prononcerait contre la demande de naturalisation du chanteur français.
Johnny Halliday (Sipa) Les démarches engagées par le chanteur français Johnny Hallyday pour obtenir la nationalité belge, vraisemblablement pour échapper aux impôts, semblent mal parties. Son cas doit être l'objet en début de semaine prochaine d'une concertation entre trois élues chargées de donner leur avis à la "commission des naturalisations" de la Chambre des députés qui examinera le dossier à partir du mardi 27 février. Or, la présidente de cette "mini-commission", la chrétienne-démocrate flamande Liesbeth Van der Auwera, a annoncé qu'elle se prononcerait contre la demande naturalisation du chanteur. Sa collègue libérale flamande Annemie Turtelboom a qualifié la démarche de "discutable", tandis que la troisième députée, la socialiste francophone Karine Lalieux, a jugé que "ce n'est pas parce que l'on a de l'argent ou que l'on est célèbre que l'on peut devenir belge". Le chanteur a demandé en novembre 2005 à acquérir la nationalité belge pour, selon lui, retrouver ses racines. Johnny Hallyday, de son vrai nom Jean-Philippe Smet, est né le 15 juin 1943 à Paris d'une mère française et d'un père belge avec lequel il n'a eu que très peu de contacts.
Les députés de Flandre "ne sont pas chauds"
Des journaux français et belges estiment cependant que Johnny, qui s'est récemment installé en Suisse pour payer moins d'impôts, souhaiterait en fait devenir belge pour ensuite vivre à Monaco, où les citoyens belges jouissent d'avantages fiscaux dont ne bénéficient pas les Français. Le dossier Johnny Hallyday, ainsi que 6.800 autres demandes, devrait donc aboutir mardi devant les 17 membres de la commission des naturalisations (10 néerlandophones et 7 francophones), qui pourraient toutefois avoir besoin de plusieurs séances pour statuer sur l'ensemble des dossiers. Or, selon les journaux La Libre Belgique et Le Soir de mercredi, les députés élus en Flandre (nord), où Johnny Hallyday est un quasi-inconnu, "ne sont pas chauds" pour accorder à l'"Elvis Presley français" la nationalité belge. Côté francophone, la libérale Jacqueline Galant votera "oui", estimant que ce serait "très bien pour l'image du pays" que Johnny devienne belge. Le député socialiste André Frédéric explique de son côté avoir un "a priori positif", mais indique qu'il pourrait "changer d'avis" si on lui "démontre qu'il s'agit d'une évasion fiscale".
Recours possible
Pour obtenir la nationalité belge, il faut en principe avoir sa résidence principale en Belgique depuis au moins trois ans -ce que Johnny n'a pas- ou, à défaut, être en mesure de prouver d'autres "attaches véritables avec la Belgique". En cas de réponse négative, Johnny aura 30 jours pour envoyer ses observations à la commission des naturalisations, qui pourra éventuellement changer d'avis. En pleine campagne présidentielle, l'attitude du chanteur a été dénoncée par la gauche française. Elle embarrasse aussi le candidat de la droite, Nicolas Sarkozy, à qui Johnny a apporté un soutien appuyé
| |
| | | Mini ADMINISTRATRICE
Nombre de messages : 7447 Age : 93 Localisation : La vallée des poupées Loisirs : MON SARDOU ET ENCORE DU MON SARDOU!!!! Date d'inscription : 14/01/2007
| Sujet: Re: Alors là Jojo, faudra que tu m'expliques 06.03.07 22:43 | |
| Belgique: la décision sur la naturalisation de Johnny Halliday ajournée
Le chanteur Johnny Hallyday, en septembre 2006 à Paris
La commission des naturalisations de la Chambre belge des représentants a ajourné mardi de six mois sa décision sur la demande de nationalité belge du chanteur français Johnny Hallyday, ont annoncé les membres de cette commission.
"Il y a des éléments, notamment fiscaux, qui ont été rapportés par la presse et que nous voulons vérifier", a déclaré le président de la commission, le député Guy Hove. "Nous voulons être sûr de sa situation", de sa "sincérité", a-t-il ajouté. La commission, composée de 17 parlementaires, a "longuement discuté" du cas de Johnny Halliday, avant de décider "à la majorité" de se donner six mois de plus pour trancher, selon M. Hove. Des journaux avaient suggéré que Johnny Halliday, qui s'est récemment installé en Suisse pour payer moins d'impôts, souhaiterait en fait devenir belge pour ensuite vivre à Monaco, où les citoyens belges jouissent d'avantages fiscaux dont ne bénéficient pas les Français. Le chanteur dément. Pour obtenir la nationalité belge, il faut en principe avoir sa résidence principale dans le pays depuis au moins trois ans - ce que Johnny Halliday n'a pas - ou, à défaut, être en mesure de prouver d'autres "attaches véritables avec la Belgique". Une exigence à laquelle Johnny Hallyday, de son vrai nom Jean-Philippe Smet, né le 15 juin 1943 à Paris d'une mère française et d'un père belge avec lequel il était brouillé, tente de répondre en affirmant qu'il s'agit du pays de ses "racines". Après la France, le très médiatisé projet de Johnny Hallyday d'adopter la nationalité belge --pour des raisons sentimentales, selon lui, fiscales selon ses détracteurs-- a pris ces derniers jours une tournure politique en Belgique. Les positions des élus de la Région flamande (nord, néerlandophone), où Johnny est peu connu, sont globalement défavorables à l'ex-"idole des jeunes" des années 1960 et tranchent avec l'attitude plus conciliante de députés francophones. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Alors là Jojo, faudra que tu m'expliques | |
| |
| | | | Alors là Jojo, faudra que tu m'expliques | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|