Reçue en début de mois par Marc-Olivier Fogiel - grand ami de son fils Benjamin Castaldi -, Catherine Allégret s'est épanché sur les ondes de RTL, dans l'émission On ne pouvait pas le rater.
La fille de Simone Signoret, venue faire la promo de la pièce Les demoiselles d'Avignon, qu'elle donne depuis le 23 janvier au théâtre Rive Gauche, a indiqué - avec la franchise qu'on lui sait - que le divorce de son fils était une bénédiction pour eux deux (Benjamin Castaldi et Flavie Flament sont officiellement divorcés depuis fin 2006.)
Interrogée par Fogiel sur la surmédiatisation de la vie privée de son fils - mais "pas autant que celle de Sarko", plaisante-t-elle -, la comédienne a déclaré qu'elle n'a pas de "conseils à lui donner", mais ne peut "que se réjouir ou s'attrister". "Là, ajoute-t-elle en riant, je suis plutôt dans la période des réjouissances. Parce que je le trouve très bien, très heureux depuis qu'il a changé de vie. Je suis très heureuse pour lui et pour nous", ponctue-t-elle. Avant de poursuivre, avec émotion et sans langue de bois : "J'ai passé à peu près six ans de ma vie à le voir très peu, à ne pas voir grandir mes petits-enfants et à ne pas fêter Noël ni les anniversaires auprès de mon fils. C'est un peu dur ".
Celle qui s'amuse d'être passée du statut de "la fille de" à celui de "la mère à" se félicite ainsi d'avoir "retrouvé son fils".
Et, quand Marc-Olivier Fogiel rappelle, à l'intention des auditeurs qui l'ignoreraient, que Benjamin Castaldi était marié à Flavie Flament, la maman se fend d'un : "C'est cela, oui" - un peu à la Thierry Lhermitte dans Le Père Noël est une ordure... Ce qui en dit long.
Une publicité dont Flavie Flament se serait bien passée.